The Representation of Indian Cultures in Selected Works Written by Foreign Authors
Subrata Pal, Department of Foreign Languages, Amity University, Kolkata, India,
Abstract
India is a country where we find variety and diversity of cultures. Each state is well characterized by their cultures. All cultures are alive, and they attract many people. Not only Indians but also there are several foreigners who are well attracted and influenced by Indian cultures. These varieties of cultures place India first in the entire world. This is a reason why foreign authors and writers are passionate about composing their works in India especially to show the rich culture. My research is based on four works that reflect Indian culture well. The works are above: – “The Land of the Buddha” by Jean Luc Toula Breysse, “A Shocked Missionary” by Jean Antoine Dubois, “A New Babel” by Abharam Anquetil Duperron and “Par la Virtue des Plantes” by Pierre Sonnerat . These works show us how Buddhism gives us an idea of reincarnation and how we can achieve the goal, Nirvana. How the funeral of high caste brahmin take place. Linguistic diversity plays an important role in India. The importance of Ayurvedic medicine in the lives of men are the subjects of this research. But in the end, we know that India is well known for Unity in Diversity.
La Représentation Des Cultures Indiennes Dans Les Œuvres Choisies Ecrites Par Les Auteurs Etrangers
Résumé
L’Inde est un pays où on trouve la variété et la diversité des cultures. Chaque état est bien caractérisé par leurs cultures. Toutes les cultures sont vivantes et elles attirent plusieurs hommes. Non seulement les Indiens mais aussi il y en a plusieurs étrangers qui ont bien attirés et aussi influencés par les cultures indiennes. Ces variétés des cultures se placent Inde au premier rang dans le monde entier. C’est une raison que les auteurs et les écrivains étrangers se passionnent de composer leurs œuvres sur Inde surtout de montrer la riche culture. Ma recherche est basé sur quatre œuvres qui reflètent bien la culture indienne. Les œuvres sont ci-dessus :-« Le Pays du Buddha » par Jean Luc Toula Breysse, « Un Missionnaire Choqué » par Jean Antoine Dubois, « Une Nouvelle Babel » par Abharam Anquetil Duperron et « Par la Vertu des Plantes » par Pierre Sonnerat. Ces œuvres nous montrent comment le bouddhisme nous donnent une idée de réincarnation et commet on pourra avoir le but ultime, Nirvana. Comment se passent les rites funéraires de brahmine de haute caste. La diversité linguistique joue un rôle important en Inde. L’importance de médicine ayurvédique dans la vie des hommes sont les sujets de cette recherche. Mais à la fin on sait bien que Inde est bien connue pour L’unité en diversité.
Mots Clés : la réincarnation, le Nirvana, rites funéraires, variation linguistique, ayurvéda.
Quand on entend le mot « L’Inde » il y en a plusieurs choses qui arrivent dans notre esprit. Soit on est Indien soit on est étranger, tout le monde tremble avec joie quand on écoute « L’Inde ». Ce pays a une puissance inévitable d’attirer tout le monde vers elle. Pour créer cette attraction ce pays utilise beaucoup d’éléments. Parmi eux il y en a un aspect qui attire presque tous du monde entier c’est sa culture. La culture indienne est vraiment riche et variée. Chaque état possède sa propre culture qui est différente des autres. Quelques fois la même fête est appelée en noms divers dans les états différents.Cette diversité inspire non seulement les écrivains indiens mais aussi les écrivains étrangers. L’objectif de cette étude est de montrer comment les écrivains étrangers ont influencé par les cultures indiennes et quels types d’œuvre ils ont composé de montrer cette diversité. J’ai choisi quatre œuvres pour ma recherche sur ce sujet. Ce sont :-« Le Pays du Buddha » par Jean Luc Toula Breysse, « Un Missionnaire Choqué » par Jean Antoine Dubois, « Une Nouvelle Babel » par Abharam Anquetil Duperron et « Par la Vertu des Plantes » par Pierre Sonnerat.
Dans « Le Pays du Buddha » par Jean Luc Toula Breysse on trouve il y a le karma et aussi la notion d’réincarnation. Force motrice de l’existence le karma selon le canon bouddhique régit les manifestations du monde entier. Karma en sanskrit signifie « action ». Nul ne peut éviter les conséquences de ses actes. Les actions accomplies conditionnent le futur. Nous ne sommes pas ce que nous avons fait. L’avenir est derrière nous. Le karma repose sur le principe que toute cause produit en effet. L’acte volontaire positif ou négatif que ce soit une parole, une pensée, une émotion ou une action physique engendre un résultat. Il ne s’agit pour les bouddhistes ni de récompenses ni de punitions, mais plutôt d’une loi naturelle à la valeur pragmatique, indépendante du divin et du destin d’une rétribution inexorable qui entraine l’homme de vie en vie dans la ronde des existence successives appelée le samsara. Ce cycle de renaissances présuppose la croyance en la transmigration. Il n’est pas une question d’un voyage de l’âme d’un corps à un autre comme l’entendait Pythagore, ou de l’atman principe cher aux religieux hindous d’un moi éternel de l’homme. Dans la conception bouddhique l’âme n’est pas une entité permanente. Il n’y a pas de survivance du moi, car par définition il est composé d’un agrégat provisoire et donc change sans cesse. Instable, évanescent l’ego ne subsiste pas d’une vie à l’autre. Seuls le désir et la soif de l’existence lient les êtres au cycle des renaissances générées par le flux des actes. Le but ultime est de s’y soustraire pour atteindre le nirvana.
En lisant l’histoire « Un Missionnaire Choqué » par Jean Antoine Dubois on a eu une connaissance sur les rites et les coutumes religieuses hindoues. On remarque ici les rites funéraires d’unbrahman.Il y a une grande différence de funéraire entre un homme commun et un brahman. Leurs derniers moments sont accompagnés et suivis d’une foule de pratiques ridicules. En effet les Indiens observent beaucoup moins de formalités lors du décès de leurs proches. Dѐs que les symptômes de l’agonie se manifestent chez un brahme on choisit par terre une place qu’on enduit de fiente de vache. On y répand de l’herbe et par-dessus le tout o étale une toile neuve et pure sur laquelle on transporte le mourant. Là on lui ceint les reins d’une autre toile pure et après lui en avoir demande la permission. On lui fait la cérémonie appelée sarva- prayaschita. Ou expiation totale à laquelle président le pourohita et le chef des funérailles c’est-à-dire la personne qui par la proximité du sang ou les usages du pays a le droit de remplir cette fonction. On amène une vache avec son veau. Elle a les cornes garnies d’anneaux d’or ou de cuivre, sur le cou une guirlande de fleur, une pièce de toile neuve lui couvre le corps et l’on y joint divers autres ornements. On fait approcher la vache du malade qui lui prend par la queue et en même temps le pourohita récite un mantram afin qu’elle le conduise par un bon chemin dans l’autre monde. Le don d’une vache appelé godana est indispensable si l’on veut arriver sans accident au Yoma-loca où séjour le Yama, roi de l’enfer. Prѐs de ce lieu où se trouve un fleuve de feu que tous les hommes doivent traverser après qu’ils ont cessé de vivre ce qui arrivé à leur dernière demeure. Après le godana on distribue aux brahmes les pièces de monnaie contenue dans le plat de métal et dont la somme totale doit égaler le prixde la vache.On prépare ensuite dix dons ou dassa-dana pour être distribués aux funérailles qu’on suppose n’être pas éloignées. Ces dons consistent en vaches, terres, grainesde sésame, or, beurre liquide, toile, diverse sortes de grains, sucre, argent et sel. Ces dix articles offerts aux brahmes, étant fort agréables aux dieux procurent à celui qui les fait un séjour fortuné après sa mort. Dѐs que le malade a rendu le dernier soupir, il est convenu que tous les assistants doivent pleurer ensemble à l’unisson et sur un ton approprié à la circonstance. Le chef des funérailles va se baigner sans ôter ses vêtements et se fait ensuite raser la tête, le visage et la moustache. Il va au bain pour la seconde fois pour se purifier de la souillure que lui a imprimé l’attouchement impur du barbier. Lorsqu’ils sont terminés celui qui y préside apporte une pièce de toile neuve et pure dans laquelle il enveloppe le défunt. Il déchire une bande de cette toile et ploie dans un des bouts un morceau de fer sur lequel il verse un peu d’huile de sésame. Ayant ensuite roulé cette bande de toile en forme de triple cordon il doit la conserver durant douze jours pour servir à diverses cérémonies dont il sera question plus loin.
« Un Missionnaire Choqué » par Jean Antoine Dubois dans cette histoire on trouve la présence de diversité linguistique en Inde. Ce phénomène est beaucoup plus commun dans notre pays. Chaque état a sa langue officielle bien vivante, parlée et écrite à quoi il convientd’ajouter l’anglais devenu une véritable langue indienne et l’hindi la langue administrative. Sans compter d’innombrables dialectes tout lettré indien possède le sanskrit- la langue mère, l’anglais, l’hindi et une ou plusieurs langues vernaculaires. Le samskretam passe dans cette contrée pour l’ancienne langue du pays. C’est une langue morte qui a son alphabet particulier dont les lettres reçoivent quelques changements selon la classe des brahmes qui l’écrivent. La plus généralement répandue en quelque sorte la langue universelle dans l’Inde est le persan moderne. Il n’y a pas de princes avec lesquels on ne puisse traiter par le moyen de cette langue parlée ou écrite. Avec le persan l’Hindoustan est la langue d’usage dans le nord de la presqu’île dans tout le Dekan et en bien des endroits de deux côtes. Cette langue s’écrit en caractère nagris altérés du samskretam et en caractère persans. Alors on ajoute des points à plusieurs lettres persans pour marquer les caractères que l’alphabet persan ne fournit pas.Cette langue reçoit dans la prononciation des réflexions différentes et est pur ou mêlé d’arabe, de persan, de bengali, de marathiselon les peuples qui parlent. Au nord de la province les langues utilisées sont le tibétain, l’hindoustan et le persan. Au Bengal le bengali tient par les lettres et les mots du tibétain et de l’hindoustan, le persan et l’hindoustan. Remontant le côté smalabare le tamoul pur avec des caractères différents de ceux de la côte de Coromandel a cours de coëlan au mont Delhi au-dessus de Mahe. Le samskretam à cette partie de la côte s’écrit avec des caractères différents du reste de l’inde. Après le tamoul, le kannada avec des caractères particulier. Ainsi pour traiter avec les peuples de l’Inde, il faut savoir neuf langues qui ont des alphabets particuliers, sans parler des jargons ou idiomes locaux. L’esprit est effrayé à la vue du travail que demande la connaissance de ces langues. Ce sont des montagnes bien autrement difficiles à franchir. On sait que les Portugais sont les premiers européens qui aient fait des établissements dans l’Inde. Cette nation ne s’étant point donné la peine d’apprendre les langues. En quelques sortes obligé les naturels à parler la sienne. Comme la plupart des domestiques au service des Français, Anglais, Hollandais, Danois sont issus de ces premiers Indiens des Portugais les étrangers en arrivant se trouvent dans la nécessité d’apprendre le Portugais.
En analysant « Par la Vertu des Plantes » par Pierre Sonnerat on remarque que les plantes médicinales jouent toujours un grand rôle dans la vie des peuples. Le pouvoir médicinal est mentionné dans les épopées de l’Inde. Son existence est beaucoup plus en avant. Aujourd’hui encore on reconnait sans bien les comprendre les vertus de la médicine ayurvédique qui rencontre une faveur croissante y compris en Occident. Il n’y a pas de médecins plus savants que les autres et qui obtiennent une réputation marquée. Dѐs leur enfance on leur apprend à connaitre quelques simples et différentes recettes qui se transmettent de père en fils. C’est pour eux une ressource contre la misère. Ils sont persuadés que toutes les maladies viennent de chaud ou de froid ou qu’elles sont occasionnées par des vents qui se glissent entre cuir et chair. Si la maladie vient de la peau ils croient qu’elle est produite par des vers et pour les faire mourir ils appliquent des caustiques qui dessèchent la peau et la font excorier. Le lendemain le médecin enlève quelques morceaux de cette peau brûlée et les montre au malade et lui-même le croit aveuglément. Selon l’auteur les Indiens ne connaissent pas l’usage des lavements. Jamais ils ne se saignent. Si un médecin européen voulait les saigner la peur qu’ils ont de cette opération produirait un effet contraire à celui qu’on en attendrait.Tout ce qui a rapport à la chirurgie est inconnu aux Indiens semblables en cela aux Egyptiens jamais ils n’ont ouvert de cadavre pour étudier le corps humain et pour y découvrir les causes des maladies. Ils meurent tranquilles entre les mains de leurs médecins mais entre celles d’un européen. Ils seraient tourmentés jusqu’à la mort ou jusqu’à leur parfaite guérison parce qu’ils croient qu’il est impossible à un étranger de connaitre leurs véritables maux.Il y règne de plus une maladie épidémique qui en vingt-quatre heures et quelques fois moins enlève ceux qui en sont attaqués. Elle ne se manifeste que dans les temps froids. Les Indiens ont encore quelques remèdes particuliers selon les maladies. Pour les fièvres ils emploient avec succès des tisanes de racine de margosier pilées. Pour la goutte ils usent pendant un mois d’une poudre dont la base est le soufre. Il est très pernicieux et fait remonter la goutte.
Pour conclure je voudrais dire que c’est vraiment difficile à décrire toutes les cultures et les coutumes indiennes dans seulement un projet. On doit faire une énorme thèse pour en décrire en détail. Il y en a plusieurs recherches existent et aussi beaucoup de recherches sont en train de faire sur les cultures indiennes. C’est vraiment intéressant de savoir que les auteurs étrangers ont écrit à propos de l’Inde.Ils ont passé plusieurs années en Inde. Ils ont observé minutieusement tous les détails. Ils ont aussi assisté quelques coutumes et puis ils ont partagé leurs expériences sur les cultures différentes qui ont marqué un profond impact sur leur vie. Donc on comprend comment la richesse de la culture indienne met son importance dans notre société. On considère quelques cultures comme les superstitions mais elles existent depuis la création. C’est une partie intégrale de notre vie et on ne peut pas les éviter étant demeuré dans la société.
Référence
Les piliers d’une civilisation